Pendant un an, j’ai été freelance full remote. C’est-à-dire travailleur indépendant à distance, mais c’est plus cool en anglais, parait-il. Avant, j’étais un être humain normal, du genre qui étudie et fait des stages dans la même ville. Puis j’ai découvert un nouveau mode de vie, et j’ai dégusté. Dans les deux sens du terme : j’ai d’abord profité, pleinement, avant de prendre une claque dans la gueule.
Je fais le bilan d’une tambouille à la mode à laquelle j’ai goûté, le digital-nomadisme-100%-remote-freelance-entrepreneur-voyageur-un-macha-latte-sil-vous-plait-merci-votre-cafe-wifi-est-vraiment-sympa.
Et je vous raconte ma vie au passage.
À la rentrée dernière, je décroche un master dans une université parisienne, Saint Graal visé depuis 6 ans. À cause du covid, je n’ai pas eu la chance de me pinter quotidiennement en étudiant sans frais à l’étranger (en bon français, on dit faire un Erasmus). Je sens monter en moi des envies d’ailleurs. J’ai quelques potes à Berlin, qui me parlent de l’espace, de la liberté d’esprit, des internationaux partout, il ne m’en faut pas plus. J’irais là-bas. [...]
La suite de cette chronique est disponible sur Welcome to the Jungle, juste ici. Bonne lecture ;)
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